« J’en appelle à Boko Haram afin qu’il ne fasse pas de mal à ces jeunes filles, qu’il les libère immédiatement et les restitue à leurs familles ». La préoccupation de Monseigneur Ignatius Kaigama, président de la Conférence épiscopale du Nigeria, est plus que tangible en raison de la situation des onze jeunes lycéennes âgées de 12 à 15 ans, enlevées le 14 Avril 2014, et dont l’enlèvement a été revendiqué le 5 Mai dernier par le groupe terroriste tristement célèbre qui tourmente le pays depuis des années.